18/10/2011

J1/10 - Hold-ups


15:04:32 Berlin / Mitte - septembre 2011

15:06:25 Berlin / Mitte - septembre 2011
       

2 commentaires :

  1. Bruno Helsens19 octobre 2011 à 22:38

    Hold-ups photographique, c'est le message que tu veux faire passer, isn't it? (je préfère cette formule en anglais plutôt qu'en français trop employé par the stylo)
    Alors comme ça tu te promènes dans les rues de Berlin l'appareil sur la poitrine et du déclenche à tout va sans même viser et cadrer et après on verra bien ce que cela donnera, de toute façon y en aura bien une ou deux qui seraient bonnes et bien je te croyais bien plus consciencieux et méticuleux.
    Et bien mon salaud t'as pas raté ton coup, je me demande même si tu ne l'aurais pas fait exprès, tu te serais un peu baissé presque accroupi mais pas tout à fait et que tu aurais porté le viseur à l'œil et en plus tu aurais attendu, mais pas trop, pour déclencher.

    Les 2 fonctionnent très bien ensemble, ça c'est de la photo de rue, vivante, pourquoi? Parce que le cadre n'est pas vraiment défini, les personnages sont coupés et en mouvement, on ressent bien qu'il y a une vie autour (au delà du cadre).

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  2. alsoipon21 octobre 2011 à 13:37

    En faisant ces deux photographies (ce sont les seules de ce "genre", ce jour-là) j'ai surtout revécu, avec un sourire (intérieur) une pratique qui était, disons dans les années 80, assez coutumière.
    Il s'agissait un peu de "casser" le cadre, de laisser les sensations urbaines (la pratique ne conviendrait pas trop à la photographie de paysage) faire le reste. Indispensables, un boîtier télémétrique, cinq ou six bobines de film, de bonnes chaussures et surtout des déplacements rapides. En fin de journée, fatigué, ne se souvenant plus de ce qui avait été photographié (surtout sans viser) il restait à développer et à constater ensuite un taux de réussite, si l'on peut dire, avoisinant le 1% (par excès !).
    Alors de temps en temps, sans en faire une pratique régulière, j'aime bien retrouver ces sensations-là.
    Sinon, photographiquement, les décadrages m'intéressent beaucoup, les déséquilibres aussi ainsi que les personnages coupés. Peut-être enlever un peu de certitude à ce que l'on montre, laisser un peu d'indécision entrer dans l'espace capté.
    Bruno, je ne pense pas t'avoir contredit (sauf peut-être que rien est fait intentionnellement, ou alors inconsciemment...)
    Mais rien est sûr...

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