31/12/2013
29/12/2013
Le voyage hésité #42 / jeudi 24 juin 2010
Compte tenu du peu d'affluence en salle "poltrona", une nuit passée allongé sur trois sièges et demi... comme dans un lit, l'aventure en plus !
28/12/2013
26/12/2013
Le voyage hésité #39 / mercredi 23 juin 2010
24/12/2013
22/12/2013
Le voyage hésité #37 / mercredi 23 juin 2010
Bar CiCCi, caffè longo decaffeinato ! Piazza Campetto, une glace. Un double sorbet citron/fraise qui réconcilie avec le monde.
20/12/2013
Le voyage hésité #36 / mercredi 23 juin 2010
Un peu plus tard, via San Luca. Et si c'était l'Espagne, ce serait la carrer Santa Llúcia à Barcelone, si lointaine et si semblable.
18/12/2013
16/12/2013
13/12/2013
09/12/2013
Le voyage hésité #31 / mercredi 23 juin 2010
L'après-midi sera courte car l'enregistrement pour l'embarquement est à 17h.
Palazzo Reale, via Balbi. Au-dessus de l'autoroute Aldo Moro, en hauteur, un jardin, des statues, de l'ombre. Je m'assieds. Un pigeon dans l'ombre, mal en point, patte ou aile cassée. Il traîne son corps blessé.
06/12/2013
05/12/2013
Le voyage hésité #29 / mercredi 23 juin 2010
Le billet Gênes-Perpignan en poche, je vais à la gare maritime pour un autre trajet, Gênes-Palerme, que j'ai fini par décider après beaucoup (trop) d'hésitations.
Traversée de la ville, bus 18.
04/12/2013
Le voyage hésité #28 / mercredi 23 juin 2010
Mon retour risquant de se situer en pleine période de turbulences migratoires, je le programme dès maintenant, chose que je ne fais jamais habituellement. Je n'aimerais pas que mon imprévoyance me retienne ici ou là.
Retour en bus Gênes-Perpignan, vendredi 2 juillet, de nuit.
01/12/2013
29/11/2013
27/11/2013
25/11/2013
22/11/2013
20/11/2013
18/11/2013
16/11/2013
14/11/2013
Le voyage hésité #19 / mardi 22 juin 2010
En juillet 2001, c'était hier, un des cortèges de manifestants anti-G8 qui tentaient de gagner le centre ville, passait ici, via Tolemaide. À deux pas de la piazza Alimonda... Aujourd'hui, la vie suit son cours.
12/11/2013
Le voyage hésité #18 / mardi 22 juin 2010
Genova / Piazza Alimonda. Je me trouve rarement dans une ville simplement par hasard. Il y a souvent une raison particulière qui me guide, une raison en forme de prétexte peut-être. Ici, cette place Alimonda où la vie de Carlo Giuliani s'est terminée brutalement et où l'on peine à imaginer la violence de ce qui s'y est déroulé. Un gâchis que l'on n'oublie pas, ou plutôt qu'il ne faut pas oublier.
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