Ça commence souvent comme ça.
Il y a des gens qui en accompagnent d'autres qui s'en vont vers des ailleurs dont on ne sait rien. Des mains qui font des au-revoir, des larmes parfois, des sourires aussi.
Cette année les circonstances font que je pars seul à Berlin et que personne ne m'accompagne à la gare.
Oui, et maintenant des conversations téléphoniques entre quai et train, jusqu'à la dernière seconde. J'aime beaucoup cette photo que je trouve très tonique. Beau début de voyage :-)
RépondreSupprimerCommençant la publication de cette série sans trop savoir où elle mène, je me pose la question - parcourant très très rapidement l'intégralité des prises - de savoir comment évolue la prise de vue dans le courant d'un voyage. Le début, en cours, vers la fin... la nécessité existe-t-elle avec la même intensité, les centres d'intérêt évoluent comment, n'assiste-t-on pas à une sorte de diminution de la vigilance du regard, à une forme de lassitude, de fatigue physique aussi (là, je parle pour moi). Toutes questions en suspens, toutes questions aux réponses incertaines...
SupprimerComme Patrick j'aime beaucoup aussi, je la trouve très cinématographique, les acteurs se mettent en scène seuls.
RépondreSupprimerLe noir et blanc est de rigueur, la concentration doit être totale.
Absolument, un plan cinéma très "tatiesque"... Avant même de prendre le train, le jeu des acteurs et des lignes (horizontales et verticales) nous font voyager dans la photo. Une curiosité : la petite dame (à droite) qui regarde beaucoup plus haut que ses camarades.
RépondreSupprimerExact pour la p'tite dame... ce TGV est à étage ;-)
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