Mardi 9 septembre 2014, Friedrichstraβe, Berlin.
Cinéma, cinémas.
Impossible de m'en dépêtrer... Là, sur ce trottoir de grande largeur - et cette dimension y participe - même si l'angle de prise de vue ou le moment ou n'importe quoi d'autre est mal choisi, il y a une fille qui pourrait s'appeler Patricia, elle descendrait les Champs Élysées et vendrait à la cantonade le New York Herald Tribune, elle rencontrerait quelques instants plus tard, Michel Poiccard.
Je sais à cet instant précis que cette année je suis seul à Berlin. Mais pourquoi ?
Pourquoi?
RépondreSupprimerSi la solitude devient un "pois" il faut le planter pour lui faire germer des rencontres peut-être?
Mouais... c'est pas vraiment ce que je voulais dire. D'abord la solitude ne veut pas dire pesante et puis il s'agissait plutôt d'une réalité qui soit palpable autrement que par la simple absence... la certitude de cette solitude. L'évocation cinématographique d'À Bout de Souffle, d'un passé assez lointain et donc générateur de mélancolie était liée à ce sentiment ou à cette impression, comme on voudra.
SupprimerC'est peut-être compliqué ou mal dit, bref ! Pour les rencontres ça va ça vient, mais je ne cours pas après à tout prix, la vie quoi :-)